Mon RP [En écriture]

Nouveau Messages : 25 Date d'inscription : 31/07/2008

Pour l'amour d'une fleur.

Mon RP [En écriture] Banrpzn9

Chapitre 1 : Oubli.

***

Un jeune homme pénètre dans une salle. Plus précisément dans une chambre aux murs blancs, les meubles aussi avaient cette teinte. Aucun bruit ne se fait entendre lorsque l'individu marche en direction du centre. Un sol extrêmement lisse et brillant où l'impression de marcher sur un miroir se fait sentir. Une lumière apparaît surprenant le jeune individu, tandis qu'il ferme les yeux, la lumière s'adoucit pour laisser la chambre baigner dans une atmosphère reposante.
C'est au moment de rouvrir ses yeux qu'il aperçoit une silhouette. Doucement, longuement, la visualisation passe d'un flou indiscernable à la vision d'une silhouette féminine. Cela ne prit que quelques secondes.
De ses yeux, il observe l'apparence d'une femme prendre forme. Une beauté inégalée.
Cette apparition au visage doux entre-ouvre ses yeux pour laisser place à un regard vert d'émeraude. Leur regard s'interchangèrent et le garçon ne put penser qu'à une seule chose. Ce regard envoûtant ne peut-être que celui d'une âme saine et pure.
Elle le scrute attentivement de ses yeux verts. Sa Chevelure dense ne s'envolant que d'un côté par le timide vent passant par la fenêtre ouverte de la chambre. Sa longue chevelure d'une couleur verte identique à celle de ses yeux était tout aussi magnifique. Sa bouche s'ouvre mais aucun son ne sort...
Tandis que le vent s’intensifie, l'inconnue lève sa main et l'oriente vers le jeune homme. Il ne peut dire que :

" Suis-je censé te connaître ?"
" Aurais-je été choisi ?"
" Où sommes nous?"

Tant de questions qu'il se pose et qui restèrent sans réponses à la vue de cette apparition. C'est alors que sa main disparaissant dans une poussière de particules que l'homme reprend ses esprits voyant le sourire de l'inconnue disparaître.

"Non, Pas encore... Ne me laisse pas seul !"

Voulant empêcher cela, il saute vers elle pour l'attraper dans ses bras. Mais en vain, lorsqu'il se rend compte que son corps lui-même s'évapore vers le plafond pour disparaître sans laisser de traces. Son regard... ses cheveux... son sourire... Tout vient de prendre fin pour lui.
La chambre s'engouffre dans le noir comme si plus rien ne pouvait l'éclairer, il n'a d'autres solutions que de sortir mais dans son élan, une voix le retient. Une voix douce et apaisante qui murmure un "Merci".

"Etait-ce sa voix?"

Aucune idée pour en être sûr. Reprenant son esprit, il vit que la porte n'avait plus de poignée. Le sol ne reflétait plus rien. Criant de désespoir et ne ressentant plus aucunes sensations a part la peur. Il court vers la fenêtre que se ferme brusquement. Abandonnant tout espoirs, il sombre dans le noir en même temps que cette dimension éphémère....

***

A cet instant, le jeune homme fit un bond le sortant de son sommeil
- Encore ce misérable cauchemar... Et toujours la même fille. Qu'est ce que ça signifie dit-il. Pourquoi je ne peux pas passer une nuit sans rêver d'elle. D'une inconnue en plus...
Depuis un an , il ne cessa de refaire le même cauchemar chaque nuit ne sachant pas réellement la cause de ce cercle interminable et ce qu'il signifier. Ses doutes n'étaient pas encore certifiés.
Le garçon sortit ses pieds de la couverture et les posa au sol. Il regarda autour de lui. Evidemment rien de surprenant, c'était toujours la même chambre.

Des armoires en bambous, des murs en bois parsemés de quelques parchemins à usage décoratif, sur une armoire était posée une épée et un bouclier ayant pris la poussière vu le nombre d'années où personne ne s'en était servi. La chambre n'était pas souvent rangés, et des vêtements s'empilaient par ci , par là. La seule chose qui avait l'air d'être important à ses yeux etait son bureau, un pot d'encre et quelques feuilles où etaient ecrit des notes de musiques se trouvaient dessus. Sur le mur acollé au bureau était attaché une calendrier où l'on pouvoit lire "Juillet" au dessus des jours. La chambre était encore dans l'obscurité mais d'une motivation quelque peu effacée par l'effort , il se leva et alla ouvrir la fenêtre. La lumière envahit la pièce, il regarda le ciel. C'était une journée ensoleillée, signe d'une journée en perpesctive, mais il n'y croyait pas.

Il se dirigea vers le bureau et prit le detacha la celendrier pour le prendre dans ses mains. Tous les jours passés avaient été soigneusement rayés à la plume. Il soupira à l'idée de voir que l'on etait un mercredi.
- Encore un Mercredi... dit-il d'un ton sec en rayant ce jour avant même qu'il ne soit fini.
Il raccrocha le calendrier au mur et attrapa les partitions. Il y jeta un oeil d'une rapidité déconcertante et ouvrit le tiroir principal du bureau pour les ranger. Il fit tomber les feuilles en voyant une lettre qui trainait à l'interieur, elle était brulée à certains endroits.
- Tsss....
Il referma brusquement le tiroir et partir s'asseoir sur son lit.
- Pourquoi... Pourquoi je ne me souviens de rien ! cria t-il en lançant violemment un coussin contre le mur d'en face.
Quelques minutes plus tard , il prit quand même le soin de se lever pour remettre la chose à sa place initiale.
Mais dans son élan, il rouvrit le tiroir et sortit la lettre, il la deplia et commenca à lire...

Il y était écrit ( Ce qui était encore lisible ) :

" Enfin , j'ai eu assez de courage pour t'écrire cette lettre, je sais que tu m'en veux mais je n'ai pas voulu ce qui arrive...

Je suis consciente de ma faute et ce que ça a engendré mais...

Pardonne-moi... Si seulement je t'avais dit avant que je ... ça n'aurait pas eu lieu.

Tu es le seul qui peut le faire. Si tu acceptes et que ça marche , on pourra vivre ensemble comme on se l'était promis l'an passé.

J'ai trouvé le moyen pour tout arranger...réalisable qu'avec toi.

J'éspère que tu pourra lire cette lettre... "

Il la lisait tous les matins et soirs malgrès son envie de la jeter au feu. Mais quelque chose l’en empêchait. Il savait que sa mémoire avait subi quelque chose comme un effacement ou un choc, il n’était pas dupe. Il avait deviné aussi que cette lettre avait forcément un lien et un rapport avec son ancienne vie. Il le ressentait en lui que quelque chose lui manquait.
Il déduisit aussi que celui qui avait écrit cette lettre ne pouvait être rien d’autre qu’une fille rien qu’à en voir l’écriture.
" L’an Passé " … Tout avait dû commencer à ce moment là…
Cependant, la dernière phrase le laissait toujours aussi perplexe. Mais ce qui le rendait ainsi était qu’il manqué la fin de la phrase suite à un trous dus aux flammes .Les contours noircis le démontraient.

Il n’y avait que ce début de phrase….

" Pour l’amour d’une... "

Il lui était dans l’impossibilité de pouvoir connaître la suite.
- D’une quoi ?... Tsss, comme si ça pouvait m’apporter quelque chose de toute façon. Peut-être vaut-il mieux laisser les choses où elle le sont.

Même s’il se doutait de ce qu’il lui était arrivé, il ne s’en préoccupait pas. Sa nouvelle vie lui plaisait. Il n’avait aucune envie de la changer.
Son regard se tourna vers la fenêtre. Il devait être aux alentours de midi mais il allait très vite avoir la réponse. Une voix résonna à travers les pièces.

- C’est l’heure, qu’est que tu attends ! Dépêches-toi de venir manger !

Il ne vivait pas seul, mais avec Kyomi, une fille l’ayant trouvé dans la forêt de proxomité où il avait perdu connaissance, il etait allongé avec un instrument dans une main et une lettre brulée dans l’autre.
Ne savant pas où aller et que faire, elle le prit sous son aile et lui offrit son logis comme toit. Au fil du temps, il se sentit bien avec elle et vit en elle , une sœur qu’il aurait aimé avoir. Ca leur arrivait de s’apeller comme s’ils étaient frère et sœur..
Il se dirigea vers la porte , l’ouvrit et sortit de sa chambre. Après avoir traverser un couloir il à l’entrée de la cuisine.

- Salut Kyomi dit-il d’un léger sourire.
- Aaah ! Tu es enfin debout Yotsomis ! répondit-elle lui montrait sa chaise.

[Suite Chapitre 1]

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Yotsomis était son nom, la seule chose dont il se rappelait. Etait-ce fait exprès ? C’était encore un mystère.
Il avait dix-huit ans, par rapport à Kyomi qui en avait deux de plus et allait vers ses vingt-et-un an. Elle était vraiment très jolie et avait un visage angélique. Elle mesurait 1m65, ses yeux ainsi que ses cheveux étaient rouge porté vers le clair, ses cheveux lui arrivait au niveau de l’épaule. Elle portait un tablier au dessus de ses habits, une minijupe noire et un haut noir. Cela lui faisait ressortir la couleur de ses cheveux et de ses yeux.
En plus de son apparence, son caractère montrait a quel point elle était d’une grande pureté, elle faisait preuve d’une incroyable douceur dans sa façon de vivre et sa façon de parler, elle avait une très grande patiente et une imposante sagesse. Elle était toujours calme, simple et égale à elle-même, et c’est ce qu’aimait Yotsomis en elle , il lui portait une forte admiration.

Yotsomis lui atteignait les 1m76, mais ce n’était pas la taille qui le rendait particulier. C’etait ses cheveux et surtout leur couleur…Un bleu, un bleu cyan que l’on pourrait qualifier de fluorescent, c’était très voyant. Cela lui valait desfois quelques remarques qui disaient souvent…
" Il est bizarre regarde ! " , " Pourquoi c’est le seul à être comme ça ?! ".
Il ignorait ce genre de personnes et ce types de réflexions. Au-delà de la couleur, il ne s’occupait jamais de ses cheveux et avait toujours les cheveux décoiffés et ébouriffés. Ses yeux avaient la même particularité que ses cheveux, des pupilles du même bleu. D’une nature plutôt lunatique, il était tantôt calme et endormi et d’un autre côté, il pouvait devenir sarcastique et impulsif. Il était très difficile de le cerner et savoir comment il allait réagir. Il aimait ne rien faire et passait ses journées à jouer de son instrument, il était partisan du moindre effort.
Son côté trop tranquille et reposé énervait parfois Kyomi mais elle était habituée à son caractère, son comportement et surtout ses sauts d’humeur. Il était vêtu d’un pantalon blanc avec des motifs bleus et large au niveau des jambes. Pour le haut , il portait une sorte de veste blanche et bleue qui possédait des manches très larges dont le surplus de tissus retombaient, elle était ouverte au niveau du torse ce qui le faisait apparaître.

Le repas se poursuivit jusqu’à ce que Yotsomis se mit à parler à Kyomi.

- Kyomi, je suis désolé, j’ai un truc à faire dit-il en posant ses baguettes et n’ayant pas encore fini.
- Hum, pour ce à quoi je pense ? lui répondit-elle d’un ton interrogatif
- Oui, je pense que tu as raison.
- C’est normal , je commence à te connaître dit Kyomi toute souriante . Mais une chose , ne t’attires pas d’ennuis d’accord ?

Un silence pesant s’installa.

- …
- Promets-le moi ! insista Kyomi
- Pfff , bien sûr tu me connais comme tu l’as dis.
- Justement dit-elle en se méttant à rire.

Yotsomis se leva et fit un geste de la main à sa sœur, il ouvrit la porte et passa le seuil.
C’était un village baigné par la lumière du soleil qui apparut sous ses yeux. Ce village n’était autre que la célébre ville de Payon entourée par le village des Archers , du désert de Sograt , du lac de Greenwood et de la forêt de Payon. Elle était située non loin de la côte sud-est de Rune Midgard . Il savait que ce n’était pas son village natale, car il pensait naturellement qu’il était natif d’ailleurs mais aucun indice ne pouvait donner cette réponse. Dans ce village, Yotsomis n’était pas détesté mais beaucoup d’habitants ne l’appréciait guère. Peut-être car il n’était qu’un étranger à leurs yeux et qu’ils ne voulaient pas lui donner la satisfaction de faire partir du village. Mais personnellement , il se moquait de leurs opinions , il vivait comme bon lui semble et à son rythme et n’ayant pas envie de subir deux fois la même expérience.
Payon restait une magnifique ville où de nombreux archers allaient au palais pour obtenir le droit de rejoindre l’armée de Payon. Cela permettait au village d’assurer d’une très bonne défense en cas d’attaques et de conflits avec d’autres villes.
Il sortit du jardin qui possédaient quelques fleurs par ci par là. Il se dirigea vers le sud en passant par un chemin parsemés de buissons et arbres. Il y avait deux chemins pour se rendre là où il voulait aller. Mais il opta pour celui-là car il évitait de passer par la partie de la ville qu’il détestait le plus. Le Palais…. Si Yotsomis était en désaccord total, c’était bien avec l’autorité et les ordres. Et les gardes avaient fondé un avis sur Yostomis, à tel point que cela devenait du mépris. De plus, il avait promis à Kyomi de ne rien faire donc il n’avait aucune raison de passer par là.
Il contourna le Palais et sa cour et alla vers la gauche. Il vit un homme qui dormait sur un banc une bouteille de saké à la main, si les gardes le voyaient, il n’osait pas imaginer ce qu’il allait lui arriver. Il arriva en face de l’armurerie, il poussa la porte et y entra. Des centaines d’armures, de boucliers, d’arcs et d’autres armes étaient entreposés ici sur plusieurs rayons.
Il s’arrêta de marcher pour fixer un bouclier. Il y vit son reflet et resta quelques secondes figé comme si son esprit s’était faufilé ailleurs. Il décrocha son regard du bouclier et partit en direction du comptoir où un homme barbu le regardait. Le gérant le connaissait bien et avait une sorte de respect envers Yotsomis.
Le dialogue s’installa quand le vieil homme prit la parole.

- Haha ! Yotsomis, tu sais que ce n’était pas facile ce que tu m’avais demandé de faire dit le gérant.

Yotsomis resta silencieux. Et le gérant reprit.

- Hummm…Toujours le même, bah ce n’est rien. Comment va cette chère Kyomi ?
- Elle va toujours bien répondit Yotsomis en soupirant.
- Haha, toi alors ! Bref, attends moi ici et patientes quelques minutes. Je vais chercher ce pour quoi tu es venu.

Les minutes passèrent et le gérant revint enfin tenant un instrument à la main.

- Voilà ton lute Yotsomis, j’ai amélioré les cordes comme tu me l’as demandé. Tu auras à coups sûr un meilleur son.

Yotomis le remercia et redevint silencieux tout en se dirigeant vers la sortie. Le gérant lui dit avant qu’il ai ouvert la porte.

- Fais bien attention à toi, et bonne chance pour ce soir.

Yotsomis était un joueur de lute, il avait du talent et n’avait rien à envier aux autres ménestrels et devait même être au dessus. Ce lute était celui qu’il avait en main lorsque Kyomi le vit pour la première fois. Ce talent , il l’avait donc avant cette nouvelle vie.
Son lute était différent des autres, sa forme n’était pas ovale ce qui le rendait très particulier. Il était gris avec des nuances blanches et avait un motif certainement tribal à l’arrière du lute. Quelque chose était inscrit et gravé dans le bois de ce lute, le nom "Nidhogg".
Cet instrument devait avoir un rapport avec la lettre et son passé mais pour le moment, il se contentait d’en jouer par plaisir. Il avait l’impression que seul ce lute pouvait le comprendre.

Il rentra chez lui et alla dans la chambre pendant que Kyomi était occupé pour éviter tous discours rébarbatifs.
Il se prépara pour la soirée qui allait arriver, il devait faire un représentation au lac de Greenwood. Ca ne lui plaisait pas mais il n’avait trouvait que ça pour aider Kyomi. Il jouait tous les mercredis.
Il joua une note pour tester les nouvelles cordes, un son somptueux sortit du lute…

[Fin Chapitre 1]

[Chapitre 2 en écriture]

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Heu myo j ai pas compris ce que tu fais la mais.........
t sur que c une demande la? xD

Nouveau Messages : 25 Date d'inscription : 31/07/2008

Mais Sayuky , tu vois bien qu'ici c'est BackGround, pas Recrutement.

Achète toi un Cerveau xD et Flood pas ici Thanks.

Jmettrai ma postulation en temps voulu. Mais ici c'pour raconter l'histoire de son Personnage >>